geneviève david peinture-sculpture
Je prends pour dessiner une bonne longueur de fil de fer
Et je trace dans l’espace le mouvement fugace
Des gens qui passent, des feuilles qui tombent, des oiseaux qui flottent.
Je cherche les équilibres improbables.
Je trace dans l’espace des lignes de couleurs qui s’entrecroisent.
Je cherche le mystère des montagnes suspendues, Je cherche la transparence des êtres
Et emprisonne dans mon trait des volumes d’air moins lourd que la plume
Et plus dense que le plomb
Parce que c’est la tension du mouvement jusqu’au regard
Qui en donne la force et le poids
J’aimerai … trouver le mouvement éternel dans ces formes qui se forment et se déforment
Aux grès des courants d’air ! ……..
verre
laiton et cuivre (reims)
verre
